*Damnit !*
Malgré les bruits excédants des rats, Dash se concentre à essayer de trouver une solution...
Et soudain :
*C'est bon... J'ai un plan !*
*Je sais ! Si ces bestioles me suivent, c'est qu'il y a une raison !*
*J'ai du marcher dans quelque chose de... hum... quelque chose qui a causé l'excitation et l'attirance de ces animaux sans doute tous mâles ou tous femelles...*
The Frond se baisse vers les bestiaux grouillants afin d'essayer d'identifier leur sexe pour vérifier sa théorie.
S'auto-persuadant de voir ce qu'il souhaite, il hoche la tête lentement d'une manière réfléchi qui pourrait laisser croire qu'il a tout compris.
*Je suis un génie ! Ce sont donc mes chaussure qui attirent ces bêtes ! J'en suis sûr ! ah ah*
*Maintenant, je sais comment me débarrasser de ces rats... afin d'user ensuite de mes grands talents d'espionnage et d'infiltration...*
Dash s'éloigne un peu afin de pouvoir quitter tranquillement ses chaussures...
Ces dernières quittées, il les attache avec leurs lacets, qu'il saisit de sa main droite.
Puis il s'applique à faire tournoyer les chaussures d'un mouvement de rotation qu'il continue ensuite de faire au dessus de sa tête.
Et enfin, quand il sent qu'il atteint la vitesse maximum, il lâche le tout et envoit voler les chaussures au dessus d'un grand mur de carcasses de voitures...
*héhé ça s'est fait...*
Satisfait, Les deux majeurs des deux mains levés dans une position conquérante, Dash murmure :
"Appelez-moi maintenant... Dash THE FROND !"
*...*
Déstabiliser par cette étrange coïncidence, qui ne peut être que de la prédestination... The Frond est interrompu dans ses pensées métaphysiques par la présence des rats qui viennent toujours l'importuner.
Serrant les dents, fronçant les sourcils, Dash n'a plus qu'une solution...
Énergiquement, motivé par l'envie d'en finir au plus vite, il se débarrasse de ses vêtements qui ne forment plus qu'une boule de linge entre ses jambes.
*J'ai du me rouler dans un truc...*
Furibond, le doigt pointé en direction de la meute, et accessoirement habillé par un unique slip kangourou, l'inspecteur menace :
"Maintenant, c'est fini... Espèce de... d'animaux abjectes sans aucune classe ! Vous n'êtes qu'une honte à la nature !"
Il saisit des deux mains le tas de vêtements et le balance de toutes ses forces au même endroit qu'il a jeté ses chaussures.
Il ne peut alors qu'exprimer sa joie et observer leur réaction :
"Ah ah ! Maintenant à moi la tranquillité !"